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Le terme baby-sitting vient de l’anglais baby : « bébé » et sitter : « quelqu’un qui s’assoit ». Il pourrait donc prendre littéralement comme sens « une personne qui s’assoit pour garder bébé ». Vu de cet angle, faire du baby-sitting n’est donc pas une activité bien frémissante. Dans la réalité, faire du baby-sitting à Paris n’a rien à avoir avec le fait d’assoir et attendre que tout va bien. Il faut occuper le bébé et faire en sorte qu’il soit à son aise. On parle alors de « baby-acting ». C’est une activité qui consiste à garder le bébé et à l’occuper activement pour optimiser son éveil, sont développement personnel et son épanouissement.
Comment savoir si on est fait pour le baby-sitting ou non ?
Plusieurs personnes font du baby-sitting à Paris pour compléter les revenus et arrondir les fins du mois. Certes, intégrer ce domaine est peut-être plus facile. D’ailleurs, plusieurs jeunes ont comme premier emploi rémunéré ou premier job le baby-sitting. Il faut tout de même savoir si l’on est vraiment fait pour ce travail. Il exige en effet quelques critères obligatoires.
D’abord, il est impératif qu’on aime les enfants. Ce critère est la base du travail. On ne peut pas être baby-sitter si on n’aime pas les enfants. Il ne s’agit pas seulement de les trouver mignons mais aussi d’apprécier de passer du temps avec eux. Ensuite, il est également indispensable que l’on soit responsable. Le sens de responsabilité que l’on parle ici inclut en quelque sorte l’envie de devenir parent. Si l’on a cette envie, on pourrait être un bon baby-sitter. Après, le fait d’être sérieux et à la fois amusant est aussi primordial. Bien qu’on ne puisse pas être trop sévère avec les enfants que l’on garde, on doit avoir un minimum d’austérité pour mettre la discipline avec eux. Ils doivent aussi être à leur aise. La personne qui est chargée de prendre en main leur garde doit leur montrer qu’elle soit aimable et passionnée. Et enfin, faire du baby-sitting c’est être créatif. Occuper les enfants demande beaucoup d’imagination. Il faut inventer des jeux à tout moment pour éviter qu’ils s’ennuient ou qu’ils s’énervent.
Comment trouver des annonces de baby-sitting ?
Internet offre désormais la possibilité de trouver n’importe quel type de travail. On n’a donc plus à se donner la tête pour trouver un poste en baby-sitting à Paris.
On peut faire le tour des sites d’emploi généralistes, les plateformes spécialisées, les applications et bien d’autres encore. En général, ces sites demandent une inscription. L’accès peut être payant ou gratuit selon la plateforme. Il y a deux possibilités une fois inscrit sur le site. Soit on regarde les annonces qui s’y trouvent et on postule, soit on poste soi-même ses propres annonces permettant de se faire connaitre. Dans les deux cas, on a toujours la chance de tomber sur des familles qui sont vraiment en quête de quelqu’un de confiance pour garder leurs bébés.
Si on a déjà quelques expériences dans le domaine, l’idéal est de s’adresser directement à des agences spécialisées dans la garde d’enfants. Elles ont des fichiers d’intervenants qui se chargeront de contacter les baby-sitters quand il y a des nouvelles missions. L’idéal est de n’accepter que les offres qui se trouvent non loin de l’endroit où l’on se trouve. Cela évite les déplacements trop pénibles.
Faire du baby-sitting au noir, pourquoi l’éviter ?
Dans le secteur des services à la personne, le travail au noir est malencontreusement trop répandu. Le baby-sitter à Paris doit avoir conscience qu’en admettant une mission de baby-sitting au noir, il prend un risque et met également l’enfant et ses parents en danger.
Faire de la garde d’enfants « au black » ne permet pas non plus d’être déclaré auprès de l’URSSAF. Par conséquent, on ne bénéficie d’aucune protection sociale. Plus concrètement, le baby-sitter ne jouit pas du droit aux indemnités journalières si jamais il tombe malade. Il ne peut pas non plus avoir une couverture en cas d’accident.
Travailler au noir dans le secteur des services à la personne ne permet pas de faire une cotisation pour la retraite et ne permet pas de toucher des indemnités de chômage. Si jamais on se fait choper, on risque de faire un remboursement des sommes perçues.
En cas de conflit avec la famille, on ne bénéficie d’aucune aide, ce qui n’est pas le cas si l’on passe par une agence.
Mais le baby-sitter n’est pas le seul à encourir des risques. L’employeur peut aussi avoir des problèmes divers s’il engage un travailleur au noir. Outre les soucis en matière de confiance, de risques, etc., il est passible de 3 ans d’emprisonnement et/ou de 45 000 euros d’amende.
Comment répondre à une annonce pour le poste de baby-sitter ?
Comme n’importe quel type de job, il faut avoir un bon CV quand on postule pour un poste de baby-sitter. On a également besoin d’avoir une lettre de motivation personnalisée. Ces deux documents démontrent déjà la motivation du candidat. Ils doivent contenir toutes les anciennes expériences qu’on a acquises au préalable ainsi que les formations ou qualifications que l’on a. Il est important de préciser le nombre d’enfants que l’on a déjà gardé le long du parcours. On peut aussi ajouter les activités avec les enfants que l’on maitrise bien.
Pour les formations, il est important de mettre une valeur particulière sur celles qui sont utiles et sollicitées dans le milieu de la garde d’enfants. Outre la formation du BAFA, on peut aussi énoncer le diplôme de la petite enfance ou bien d’une formation en secourisme. Il faut mettre dans la réponse à l’annonce les disponibilités.
Une réponse immédiate n’est pas obligatoire. Il est possible qu’il y ait un temps d’attente car les recruteurs filtrent les candidatures reçues. Faire du baby-sitting à Paris c’est aussi un travail qui demande toujours de la patience. Et quand enfin ils répondent, il faut se préparer à l’entretien. On a besoin d’avoir les bons arguments pour gagner le poste et d’être bien présentable.